Japon, jour 1 décollage, atterrissage, jet lag et tout et tout.
Après un départ de notre Clermont-Ferrand adoptif plutôt chaotique (train+RER jusqu'à l'hôtel, perdage en court de chemin, couchage à 2h du mat pour se lever à 8h), nous voila à Paris pour un très bref moment.
En effet, le décollage se fait à l'aéroport Charles de Gaulle terminal 2 siouplé. Après un bus et le RER nous arrivons à bon port à 10h30, donc laaaaargement en avance. Après les formalitès administratives (échange du bon internet contre les billets, enregistrement des bagages, passage des affaires cabine, de nos pompes de marche et tout ce qui est électronique et métallique aux rayons X), nous décollons à 13h15 (un petit retard sur l'horaire car une soixantaine de bagages avaient été oubliés et non chargés dans la soute) destination Moscou où nous atterrissons à 18h30 heure locale (16h30 heure Française) pour repartir (après s'être la aussi débarrassé des obligations administratives).
Après tout ce temps, l'odeur des pompes de rando laissait à désirer, tant pis pour eux et tant mieux pour moi qui me suis fait fouiller par une jolie slave blonde aux deux yeux bleus (ce qui est rare il faut bien l'avouer !). Bon direction Tokyo, il est 20 h heure locale.
Le vol fut long, très long (10 heures environ), bruyant (les moscovites saoul sont quelques peu pénibles, un d'entre eux sera même cueilli par la police à notre arrivé à l'aéroport pour des motifs inconnus de votre serviteur, qui ne parle pas Russe et zut il ne manquerait plus que ça !), mais tout de même assez rigolos car nous avons vu le crépuscule et l'aube sans passer par la case nuit. Pour nous distraire un peu, nous avons tout de même eu la chance de pouvoir regarder des DVD et de jouer à la console (Little Poison a adoré le jeu de Pumba, à base de rots).
Enfin, nous arrivons à Tokyo à 10h45 heure locale (3h45 heure Française) sur le tarmac de Narita. Arrivés sur place nous avons passé la douane, le terroriste du groupe à eu droit à la fouille de son sac (et non ce n'est pas moi), récupéré nos sacs et nos Rail Pass et direction Tokyo (2H de train) où notre hôtel nous attend dans le quartier d'Ikebukoro que nous avons arpenté par la suite de long en large et en travers, diagonale, carré de l'hypothènuse en nous paumant de nombreuses fois.
Nous avons mangé notre premier repas Nippon que nous avons degusté assis sur un muret car les parcs sont soit minuscules, soit fermés, soit introuvables dans ce quartier et nous avons ensuite fait un peu de lèche vitrine. Retour à l'hôtel (car votre serviteur était naze) pour prendre un bain et dormir un peu.
Allez, on sort pour casser la croûte car il commence à faire faim. On (se perd) flâne dans le quartier et on erre dans un dédale de petites rues pour enfin tomber sur un bon resto où nous mangeons d'excellentes Ramens. Puis retour à l'hôtel, il est 23h30, dodo.
Note: au restaurant les portions sont carrément gargantuesques et surtout il faut vérifier que ce n'est pas trop épicé...
Vu lors de notre promenade nocturne autour de notre hôtel (je suis incapable de vous dire où). Les tenanciers nous ont allumé les lumières de la poissonnerie et étaient très heureux que nous prenions une photo.
Little Poison en jet lag attitude. Quand je vous disais que les portions étaient énooooormes (là c'est pas la plus grande!).